Candide

Voltaire

 
Candide Voltaire chapitre 17

Résumé du chapitre 17 - Candide Voltaire



Candide et Cacambo se dirigent vers la Cayenne (actuelle Guyane française) et découvrent le pays d’Eldorado. Des enfants du village, qu’ils prennent pour des fils de roi, jouent avec des pierres précieuses. Le magister du village (maître d’école) vient chercher ses élèves, qui jettent à terre les pierres précieuses comme de vulgaires cailloux. Candide et Cacambo s’ empressent de les ramasser pour les apporter au Magister qui sourit et les laisse tomber au sol.

Arrivés dans une maison, qui est un cabaret (une auberge), et ressemble à un palais, ils sont reçus somptueusement à dîner avec des marchands et des voituriers. Le dîner est splendide, et les mets s’enchaînent. Cacambo et Candide paient l’hôte et l’hôtesse avec l’or qu’ils ont ramassé. Ces derniers s’esclaffent car l’or est ici un vulgaire caillou. Ils leurs annonce que le repas est gratuit, car payé par le gouvernement.



Citations du chapitre 17 - Candide Voltaire



« Mais comment se résoudre à quitter la partie du monde que Mlle Cunégonde habite ? » (Candide, à Cacambo.)


« Si nous ne trouvons pas des choses agréables, nous trouverons du moins des choses nouvelles. » (Cacambo, à Candide.)


« Le pays était cultivé pour le plaisir comme pour le besoin ; partout l’utile était agréable. » (A propos de l’Eldorado)


« (...) il faut que les enfants des rois de ce pays soient bien élevés, puisqu’on leur apprend à mépriser l’or et les pierreries. » (Candide, à Cacambo, à propos des enfants d’Eldorado qui jouent avec les pierres précieuses.)


« ‘‘Quel est donc ce pays, disaient-ils l’un et l’autre, inconnu à tout le reste de la terre, et où toute la nature est d’une espèce si différente de la nôtre ? C’est probablement le pays où tout va bien ; car il faut absolument qu’il y en ait de cette espèce. En, quoi qu’en dît maître Pangloss, je me suis souvent aperçu que tout allait assez mal en Westphalie.’’» (Candide et Cacambo, livrant leurs réflexions.)