Candide

Voltaire

 
candide voltaire

Résumé du chapitre 14 - Candide Voltaire



Candide se morfond à l’idée d’abandonner Cunégonde, d’autant plus qu’il ignore tout de son projet de mariage avec le gouverneur. Son valet Cacambo le console quelque peu. Il connaît très bien la Paraguay, car il a travaillé comme cuistre (cuisinier) dans un collège de l’Assomption (capitale du Paraguay). Il suggère à Candide de se ranger du côté des jésuites Los Padres en guerre contre les rois d’Espagne et du Portugal.

Candide est présenté au commandant Jésuite, qui lui parle allemand, et découvre qu’il n’est autre que le frère de Cunégonde qu’il croyait avoir été assassiné par les Bulgares. Candide lui apprend que sa soeur est en vie, et se trouve avec le gouverneur de Buenos-Ayres.



Citations du chapitre 14 - Candide Voltaire


« - Serait-ce vous ? dit le commandant. - Cela n’est pas possible’’, dit Candide. Ils se laissent tomber tous deux à la renverse, ils s’embrassent, ils versent des ruisseaux de larmes. ‘‘Quoi ! Serait-ce vous, mon Révérend Père ? vous, le frère de la belle Cunégonde ! vous, qui fûtes tué par les Bulgares ! vous, le fils de monsieur le baron ! vous jésuite au Paraguay ! Il faut avouer ce que monde est étrange chose. » (Candide, au commandant Jésuite, qui n’est autre que le frère de Cunégonde.)