Candide

Voltaire

 
Candide Voltaire Chapitre 27

Résumé du chapitre 27 - Candide Voltaire



L’un des six étrangers, le sultan Achmet, accepte de conduire Candide et Martin à Constantinople. Sur le bateau, Cacambo leur explique que Cunégonde est désormais esclave du prince Ragotski, chez qui elle fait la vaisselle (avec la vieille), et qu’elle est devenue horriblement laide. Cacambo a dû payer grassement le gouverneur de Buenos-Ayres pour récupérer Cunégonde et s’est ensuite fait voler son argent par des pirates.

Arrivés sur un canal de la mer Noire, Candide rachète Cacambo à son maître et s’embarque sur une galère. Il découvre alors que deux des forçats ne sont autres que Pangloss et le frère de Mlle Cunégonde, toujours vivants finalement. Il les rachète aussi au commandant et l’enjoint à les mener au plus vite vers Constantinople. La ville atteinte, des juifs lui achètent des diamants à moitié prix et Candide, après les retrouvailles, s’élance à la recherche de Cunégonde.



Citations du chapitre 27 - Candide Voltaire



« - Ah ! Belle ou laide, dit Candide, je suis honnête homme, et mon devoir est de l’aimer toujours. » (Candide, à Cacambo.)


« ‘’En vérité, dit-il à Cacambo, si je n’avais pas vu pendre maître Pangloss, et si je n’avais pas eu le malheur de tuer le baron, je croirais que ce sont eux qui rament dans cette galère.’’ » (Candide, à Martin.)