Candide

Voltaire

 
Candide Voltaire chapitre 25

Résumé du chapitre 25 - Candide Voltaire



Candide et Martin arrivent au palais du noble Pococuranté. Ils découvrent alors que celui-ci s’ennuie de tout, des jolies filles comme des tableaux de maître, de la grande musique comme d’Homère. Idem pour Horace et Cicéron, les sciences et le théâtre. Et Milton (un poète Anglais), n’en parlons pas.

Candide le croit heureux et au-dessus de tout, mais Martin en doute fort. Candide ne s’aperçoit même pas que ni Paquette, ni frère Giroflée ne sont venus le remercier.



Citations du chapitre 25 - Candide Voltaire



« Les sots admirent tout dans un auteur estimé. Je ne lis que pour moi ; je n’aime que ce qui est à mon usage.» (Pococuranté, à Candide.)


« Au reste, je dis ce que je pense, et je me soucie fort peu que les autres pensent comme moi. » (Pococuranté, à Candide.)


« - Oh bien ! dit Candide, il n’y a donc d’heureux que moi, quand je reverrait Mlle Cunégonde. - C’est toujours bien d’espérer, dit Martin »